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SYNDICATS

Une sous-rubrique par syndicat qui voudra avoir un espace spécialisé. Chaque syndicat pourra mettre à jour son espace.

Articles de cette rubrique


Défendons Bussière et l’industrie dans le Cher : Forum public mercredi 24 mars à 18 h 30, Salle Aurore, au Pôle de l’Or à Saint-Amand (CGT FILPAC IMPRIMERIE BUSSIERE 18200)

publié le jeudi 18 mars 2010
Les dirigeants du groupe CPI (Chevrillon Philippe Industrie) veulent supprimer 120 à 150 emplois sur les 260 que compte l’Imprimerie Bussière à Saint-Amand. Cette décision n’a rien à voir avec de prétendues difficultés de l’entreprise mais est uniquement motivée par l’augmentation des dividendes pour les (...)  suite


Imprimerie Bussière, la CGT a d’autres propositions (CGT FILPAC IMPRIMERIE BUSSIERE 18200)

publié le jeudi 18 février 2010

La direction du groupe CPI dont fait partie l’imprimerie Bussière entend supprimer 150 emplois, soit plus de la moitié du personnel sous couvert de modernisation. La CGT avance des propositions alternatives permettant le plein emploi.

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Ca se passe comme ça chez CLERC à Saint-Amand (IMPRIMERIE CLERC)

Les conceptions du dialogue social du directeur de l’imprimerie CLERC
publié le lundi 15 février 2010
Le Directeur de l’Imprimerie CLERC à Saint-Amand-Montrond ne semble pas marqué par la volonté de développer le dialogue social dans l’entreprise. Pire, l’insulte et une pratique que l’on pourrait appeler du harcèlement moral sembleraient bien être sa conception du « dialogue » avec le délégué syndical (...)  suite


Situation inquiétante chez SMPA à JOUET-SUR-L’AUBOIS. L’action s’impose (SMPA JOUET-SUR-L’AUBOIS)

publié le dimanche 14 février 2010
La situation économique s’est brusquement dégradée chez SMPA à Jouet-sur-l’Aubois. C’est le résultat de la politique du groupe MAN. Sans la lutte des salariés avec le soutien de la population, cette entreprises aurait déjà disparu. Il va falloir recommencer à se battre pour défendre cet entreprise (...)  suite


Les faux maux de L’imprimerie (CGT FILPAC IMPRIMERIE BUSSIERE 18200)

120 a 150 emplois sacrifiés sur l’autel de la modernisation
publié le lundi 8 février 2010 par Syndicat CGT Imprimerie BUSSIERE

Appel au soutien de tous les élus locaux, régionaux, communauté de commune et pouvoir public.

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Les salariés de l’IMEB ont investi la Direction Régionale des Affaires Culturelles à Orléans le 22 janvier 2010 (CGT de l’Institut International de Musique Electroacoustique de Bourges (IMEB))

publié le lundi 25 janvier 2010
Contre la décision arbitraire du Directeur Régional des Affaires Culturelles (DRAC - Antenne Régionale du Ministère de la Culture et de la Communication) de fermer l’IMEB (Institut International de Musique Electroacoustique de Bourges), sans aucune concertation, les salariés de l’IMEB se sont (...)  suite


Face aux suppressions d’emplois chez BUSSIERE à SAINT-AMAND, la résistance s’organise (CGT FILPAC IMPRIMERIE BUSSIERE 18200)

publié le lundi 25 janvier 2010
Le groupe CPI a annoncé la suppression de 117 à 150 postes chez BUSSIERE, son établissement de Saint-Amand-Montrond sous prétexte de modernisation de l’appareil productif. Qu’on ne s’y trompe pas : la CGT n’est pas opposée à la modernisation et aux progrès technologiques bien au contraire. D’ailleurs, (...)  suite


BUSSIERE EST SUR LE NET (CGT FILPAC IMPRIMERIE BUSSIERE 18200)

compte rendu syndical
publié le mardi 15 décembre 2009 par Syndicat CGT Imprimerie BUSSIERE

information du compte rendu syndical

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Elections professionnelles à Véolia Agglo Bus Bourges (CGT VEOLIA AGGLO BUS DE BOURGES)

publié le dimanche 13 décembre 2009

Les élections professionnelles chez Véolia Agglo Bus de Bourges auront lieu mardi 15 décembre 2009.
Le syndicat CGT a du batailler pour obtenir de meilleures conditions d’organisation de ces élections.

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Non aux usines à colis, non aux cadences infernales dans les bases logistiques d’Intermarché (BASE INTERMARCHE DE LEVET)

publié le mardi 27 octobre 2009
En préambule, déclaration commune des membres du CCE sur la dégradation du climat social sur de nombreux établissements, pour preuve la mise à pied conservatoire d’un délégué syndical CGT de Narbonne, un autre insulté par son Directeur d’établissement, des convocations répétées aussi bien pour les élus (...)  suite


Annonces générales :

  • ANNONCES

    • Elections TPE 2021 Vote du 22 mars au 4 avril 2021

    • VO Impôts 2021 Ne payez pas 1 € de trop

      VO impôts 2021 :

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    • COVID-19 : quels sont vos droits ?

      Entre crainte de tomber malade et obligation de continuer à travailler pour préserver ses revenus, l’ensemble des salarié·e·s sont confronté·e·s à une situation inédite et complexe. Ils et elles sont nombreux·ses à se demander de quels droits ils disposent pour imposer aux employeurs la protection nécessaire pour travailler en toute sécurité, et comment les faire respecter.

      https://www.cgt.fr/dossiers/covid-19-quels-sont-vos-droits

    • Quels sont mes droits en entreprise face au coronavirus ? Source : https://nvo.fr

      https://nvo.fr/quels-sont-mes-droits-en-entreprise-face-au-coronavirus/

      Je suis, ou l’un de mes proches, touché par le Coronavirus

      Si vous, l’un de vos proches, ou l’un de vos collègues est touché par l’épidémie du coronavirus vous pouvez bénéficier des mesures de protection prévues par le décret du 31 janvier 2020.

      En effet, en cas de contamination ou de risque de contamination, l’employeur a la possibilité de suspendre votre contrat de travail. Afin de limiter la propagation de l’épidémie de Covid19 tous les salariés qui feront l’objet d’une mesure d’isolement, d’éviction ou de maintien à domicile et se trouvant dans l’impossibilité de travailler peuvent bénéficier, au titre d’arrêt de travail, des indemnités journalières.

      C’est à dire, que même si vous n’avez de fait pas le droit à une couverture, faute d’avoir suffisamment cotisé, vous êtes tout de même couvert en cas de mise en quarantaine. Avec ce même décret, les salariés mis en quarantaine toucheront leurs indemnités journalières dès le premier jour de leur arrêt de travail, sans qu’aucun jour de carence ne soit retenu.

      Mon employeur m’impose de rester chez moi alors que je ne suis pas contaminé

      Si vous n’avez été ni en voyage ni au contact d’une personne touchée, et si vous n’êtes pas contraint de garder votre enfant à domicile, vous ne pouvez pas bénéficier des mesures du décret précité. L’employeur ne peut donc suspendre votre contrat unilatéralement. Si ce dernier vous impose de rester chez vous, sans mise en place d’un télétravail, il ne peut pas suspendre votre salaire. Il doit continuer à vous rémunérer et assurer les conséquences financières de la quarantaine qu’il vous impose.

      Puis-je exercer mon droit de retrait ?

      Le droit de retrait en cas de danger, pour un ou des salariés, n’est soumis à aucune formalité particulière. En effet, si les dispositions des articles L.4131-1 et L.4131-2 du Code du Travail obligent le salarié à signaler immédiatement l’existence d’une situation de travail qu’il estime dangereuse, elles ne lui imposent pas de le faire par écrit. Pour exercer ce droit, deux conditions sont néanmoins nécessaires :

      1. Il suffit que le salarié ait un motif raisonnable de penser que la situation de travail représente un danger grave et imminent qui menace sa vie ou sa santé, pour se retirer du travail et alerter l’employeur ou son représentant.
      2. Ce retrait de l’entreprise doit être exercé de façon à ce qu’il ne puisse créer une nouvelle situation de risque grave et imminent, pour les autres travailleurs. Le salarié qui exerce le droit de retrait doit donc, avant de l’exercer, s’assurer que son initiative ne va pas générer un nouveau danger pour autrui.

      Ainsi, nous pensons que le droit de retrait peut être exercé par les salariés en contact direct, dans le cadre du travail, avec des personnes venant d’une zone à risque, ou ayant été en contact avec des personnes atteintes du coronavirus.

      En cas d’exercice du droit de retrait, aucune retenue de salaire ne peut être prise à l’encontre du salarié s’étant retiré de son poste de travail.

      Le droit de retrait n’est qu’une faculté et, en aucun cas, un employeur ne peut sanctionner valablement un salarié qui n’a pas exercé ce droit.

      À noter  :
      Pour bénéficier de cet arrêt maladie, il devra être délivré par le médecin de l’agence régionale de santé, et non pas par votre médecin traitant. La durée maximale de cette protection est fixée à vingt jours. Retrouvez les coordonnées de l’ARS de votre région

    • PRELEVEMENT A LA SOURCE

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