NVO 3109 du 26/03/2004 : SI J’ETAIS .....
Si j’étais en charge des intérêts du pays, au lendemain d’un premier tour calamiteux, je me gratterais la tête. Et je m’interrogerais. Est-il concevable de continuer à porter atteinte aux valeurs de ce peuple ? Est-il raisonnable de persister à ne pas écouter les intermittents ? D’ignorer les problèmes cruciaux soulevés par les chercheurs ? De me boucher les oreilles devant les cris d’alerte des enseignants ? De me pas écouter les hospitaliers ? , D’ignorer la colère des chômeurs privés d’une partie de leurs allocations ? De faire fi des inquiétudes des asssurés sociaux et des syndicats sur l’avenir de la Sécu ? De feindre d’ignorer le drame que vivent les victimes des prétendus « plans sociaux » ? Par chance il me reste quelques amis. Tel ce cher Ernest-Antoine Seillière qui ne cesse de me répéter : « Ce qui est bon pour le MEDEF est bon pour la France ».